Le GAL Pays des Condruses a reçu une aide dans son projet
Le GAL Pays des Condruses a reçu une belle subvention suite à un appel à projets.
Dans le cadre de son travail sur le développement durable, elle a reçu une somme de 50.000 euros afin d’acheter un désherbeur thermique à mousse qui servira aux 7 communes du Groupe d’Action Local (GAL).
Le directeur du GAL Pays des Condruses est content.
Jean- François Pêcheur a appris récemment qu’un projet défendu par son équipe allait recevoir un subside conséquent.
« En novembre 2013, nous avions lancé une phase de tests de différentes machines qui permettent de désherber sans produits chimiques.
Nous avions eu l’idée d’envoyer un dossier à la Loterie Nationale dans le cadre de l’appel à projets sur le développement durable.
Et nous avons eu la bonne surprise de découvrir que nous avions été retenus ».
Le GAL va donc recevoir la somme de 50.000 euros pour acheter un désherbeur thermique à mousse.
L’idée est de permettre aux 7 communes du GAL de l’utiliser chacune à leur tour.
«Nous avons mis l’accent sur la mutualisation des outils.
C’est ce qui a plus dans notre projet.
La machine est coûteuse pour une commune à une période où les finances publiques sont difficiles.
C’est donc une bonne solution d’acheter en commun les outils et de permettre à chacun d’en profiter en fonction des besoins.
Il suffit d’établir un planning ».
Marchin, Anthisnes, Tinlot, Clavier, Nandrin, Modave et Ouffet n’auront donc pas à débourser un centime pour l’achat : « Par contre, nous n’avons pas encore discuter avec les différentes communes pour les frais relatifs à l’entretien.
Mais, il avait déjà été évoqué que l’achat de la machine serait sur fonds propres avec une participation des 7 entités.
Donc trouver une solution pour l’entretien ne devrait pas poser de problèmes majeurs ».
Une autre bonne nouvelle devrait bientôt arriver au GAL, cette fois en provenance de la Région wallonne.
Un subside de 20.000 euros pourrait être débloqué dans le cadre du projet Condroz Propre.
«Nous avions aussi répondu à cet appel, mais nous n’avons pas encore de retour officiel.
Cet argent servirait à acheter des poubelles, à continuer la campagne de communication autour des déchets sauvages.
Nous pourrions aussi former des ouvriers communaux et continuer la sensibilisation des citoyens pour lutter contre cette problématique.
Je pense que nous avons de bonnes chances d’obtenir le subside, mais nous n’en avons pas encore la confirmation officielle ».
Article de NOÉMIE BOUTEFROY dans le journal La Meuse de H-W du 10 avril 2014