On peut les obtenir, en Condroz, à la librairie Noël (Quatre-Bras de Nandrin), de même qu’à la banque Crélan et au studio « Photo Nandrin », route du Condroz, à Nandrin.
Dans les années 70-80, j’ai travaillé la poésie wallonne, ce qui m’a valu quelques prix (prix Joseph Durbuy, Prix de la Pensée wallonne, Prix Georges Michaux, Prix des Critiques wallons, Prix de la Société de langue et littérature wallonne).
J’ai changé d’affectation professionnelle et n’ai plus eu l’opportunité de poursuivre mes activités en wallon (j’avais aussi une chronique en wallon dans le journal, tous les mercredis).
A mon départ vers Namur, personne n’a poursuivi cette chronique.
En 2005, je me suis fixé comme défi d’écrire quelque chose de plus durable et de plus construit. C’est l’origine de mon premier roman, « Les Soleils de Cobourg », paru en 2008.
Le livre raconte deux histoires croisées.
Le personnage principal, professeur, n’accepte pas d’être mis en disponibilité.
Il décide de s’en aller quelques jours à l’étranger pour réfléchir, et il se rend à Cobourg, en Bavière, où il a un jour séjourné lors d’un voyage d’études.
Mais il va lui arriver une série d’aventures rocambolesques qui ne lui permettront pas de réfléchir vraiment, mais bien de résoudre une énigme qui traîne au fond de sa mémoire…
Séduit par l’aventure de l’écriture romanesque, je me lance alors dans l’écriture d’un deuxième roman, qui a pour thème la difficulté de communiquer pour des jeunes dans un petit village dortoir.
L’action se déroule en Condroz, quelque part dans un petit village.
Pour preuve, une jeune fille a un accident à Ciney où elle étudie, et est transportée d’urgence au CHU du Sart Tilman.
Le roman s’appelle « Le Verger ».
L’action commence par le mystérieux voyage du responsable de l’Eglise protestante en Condroz…
Le troisième roman « Ton parfum sur le tarmac » met en scène un avocat liégeois, à qui surviennent des drames épouvantables : il perd son travail puis toute sa famille disparaît dans un accident.
Il se retrouve en Afrique du Nord, mêlé à un curieux trafic et doit fuir.
Il fait alors l’expérience d’une chaîne de solidarité extraordinaire, celle mise en place par les Berbères. Il va rencontrer des Touareg, puis des Sahraouis, un peuple berbère vivant au Sahara occidental et qui, depuis quarante ans, est parqué dans des camps de réfugiés à la frontière algérienne.
Perdu au milieu des sables, comment le jeune Liégeois va-t-il s’en sortir et découvrir la machination à laquelle il a été mêlé ?
Ces trois livres ont été édités par la Maisond’édition Persée, implantée à Paris et Aix-en-Provence. Aujourd’hui, « Les Soleils de Cobourg » sont repris par Bookelis, une nouvelle maison d’édition diffusée par Hachette.
Ces livres sont en commande chez tous les libraires. On peut aussi les obtenir, en Condroz, à la librairie Noël (Quatre-Bras de Nandrin), de même qu’à la banque Crélan et au studio « Photo Nandrin », route du Condroz, à Nandrin.